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jeudi 2 juillet 2009

Des assassins devenus militants


La Chambre criminelle près la Cour d'appel d'Agadir a confirmé, récemment la peine de 15 ans de prison ferme prononcée en première instance à l'encontre de Yahya Iaazza, principal accusé dans l'affaire d'assassinat du policier Abdelaziz Meski à Tan Tan.

La Cour a également confirmé le jugement (4 ans de prison) contre Lahcen Al-Fakir, Bouba Najm, Miyara Al-Moujahid, Mohamed Salmi, Mahjoub El Barkaoui, Charfi Salama et Abdelghani Baani, également poursuivis dans le cadre de cette affaire.

La peine d'un an de prison avec sursis prononcée en premier ressort contre Omar Al-Fakir a été aussi confirmée par la chambre.

En outre, la Cour a commué de 2 à 4 ans de prison ferme les peines contre Ali Bouamoud, Khalad Hassna, Mahjoub Ailal.

Elle a d'autre part fixé le montant total de 310.000 dirhams de dommages au profit des ayants droit de la victime.

La victime, Abdelaziz Meski ( 35 ans), avait été sauvagement agressé le 26 février 2008 à Tan Tan par des sympathisants du "polisario", alors qu'il accomplissait son devoir professionnel.

Blessé à la tête, il a été transféré à un hôpital de Marrakech où il a succombé à ses blessures le 3 mars de la même année. Cette bande de criminels qui avaient assassiné à Tantan le policier Abdelaziz El Messki lors de l’exercice de sa fonction. Comme est devenu coutume dans les provinces du sud à chaque fois qu’un dealer, criminel ou autre est arrêté, il ou elle politise son cas pour échapper à la justice et acquérir la sympathie des militants des droits de l’Homme sur le plan international.

Ce jour la au tribunal, les accusés en les présentant devant les magistrats n’ont cessé de crier ‘’vive le front Polisario, référendum…’’.

Dans un communiqué de l’Association du Sahara marocain, cette dernière s’étonne de l’absence de toute réaction de la part des magistrats lorsque des éléments séparatistes parmi l’assistance à la fin de l’audience commencent à haute voix à insulter de tous les noms les magistrats et le souverain ainsi que scander des ‘’vives Mohamed Abdelaziz, vive la république…’’ devant tous les corps des services d’ordre.

«c’est un spectacle de désolation, l’Etat a été incapable d’appliquer la loi .» ,disait le communiqué de l’ASM .

Des soi-disant observateurs internationaux pro-polisario sous la coupole d’une algérienne de nationale française qui de toute façon établiront un rapport négatif et mensonger, étaient sur place pour soi-disant suivre ce procès ont pu en toute liberté se réunir après le procès avec les séparatistes d’intérieur parmi eux nombre d’étudiants universitaires, des aides financières ont circulé au moment où nos services de renseignements ne font que constater car leurs hiérarchies qui confond liberté d’expression et de circulation avec actions des services de renseignements de pays ennemis au Maroc.

Ce communiqué de l’ASM attire l’attention des responsable marocains qui veulent à tout prix faire belle impression sur le volet des droits de l’Homme aux instances internationale, qu’ils se trompent de politique, ils confondent liberté d’expression et collaboration avec service de renseignement étranger sachant que le prix sera très cher payé par le Maroc.

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